Comment surclasser la concurrence en achat/revente ?

Dans cet article, nous évoquons ensemble un sujet que personne n’évoque en immobilier, et plus particulièrement dans le domaine de l’achat/revente, à savoir la concurrence.

L’investissement immobilier s’est extrêmement démocratisé ces 15 dernières années, qu’il s’agisse d’investissement locatif ou d’achat/revente. En France, on compte un peu de plus de 30 000 marchands de biens. Cela paraît être un chiffre élevé mais, en réalité, si on parle des sociétés ayant pour activité principale l’achat/revente, on peut réduire à 10 % notre chiffre de base. Il existerait donc environ 3 000 marchands de biens réguliers en France. La plupart des marchands de biens n’étant pas réellement actifs.

Voyons dans un premier temps d’où vient cet engouement récent pour l’activité de marchand de biens avant de voir les trois moyens les plus efficaces pour surclasser la concurrence en achat/revente.

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Une concurrence accrue par la démocratisation de l’activité chez les non-professionnels

S’il existe environ 3 000 marchands de biens actifs en France, il y a tout de même énormément de concurrence sur le marché puisque vous allez être face à une pluralité d’acteurs de l’immobilier lors des visites.

Entre les particuliers à la recherche de leur résidence principale, les touristes de l’immobilier, les investisseurs du locatif et les investisseurs occasionnels, la concurrence peut être rude. Le problème étant qu’ils ne font pas forcément les mêmes calculs qu’un marchand de biens qui s’y connaît et ne cherchent pas la même rentabilité. Cela pouvant vous porter préjudice puisqu’ils se contenteront de prix plus bas et de rentabilités bien moins importantes.

La règle est donc simple. Plus les opérations sont simples et peu chères, plus la concurrence sera importante. Par exemple, éloignez-vous des petits appartements à rénover ou des allers-retours ne dépassant pas 300 000 euros de budget.

Également, l’activité de marchand de biens en elle-même fait rêver de plus en plus de particuliers qui sont attirés par le rêve trop souvent vendu selon lequel ils vont devenir riches en quelques mois grâce à l’achat/revente. Ce qui est très éloigné de la réalité.

Qu’il s’agisse d’immeubles, d’appartements, de maisons, de parts d’une société, de parkings ou même de locaux commerciaux : beaucoup de personnes pensent qu’en quelques semaines, il sera facile de dégager une plus-value conséquente.

Cela couplé au fait que l’achat/revente soit une des seules professions de l’immobilier à ne pas être réglementée et ne pas nécessiter de carte professionnelle, l’activité devient de plus en plus tendance.

Trop peu de gens savent réellement ce qu’il en est dans le monde réel et sont assez bien formés pour réussir dans l’activité et se faire une place. Cette activité requiert des connaissances solides en technique, en fiscalité, en droit, en urbanisme ainsi que de la patience et de la persévérance.

Pour surclasser la concurrence et faire jouer votre professionnalisme, je vous donne donc trois conseils.

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Trois solutions pour surpasser la concurrence en achat/revente

Premier conseil : cherchez des opérations complexes.

Pour vous démarquer et revendiquer votre professionnalisme, cherchez des opérations que n’importe qui ne pourra pas forcément réaliser.

Cherchez une spécificité ! Par exemple, concentrez-vous sur des divisions de bâti, d’appartements, d’immeubles, des extensions, des opérations qui nécessitent de la construction, etc.  

Également, positionnez-vous sur des opérations d’achat/revente qui requièrent des autorisations d’urbanisme, des divisions foncières ou encore des changements de destination. Comme cela, vous éliminerez les touristes de l’activité qui n’ont pas de réelles connaissances.

Intéressez-vous aux opérations qui auront de gros délais et des procédures administratives complexes. Personne ne veut s’embêter avec ce genre de procédure (à part vous 😉).

Le fait est que l’activité de marchand de biens nécessite de rassembler un grand nombre de connaissances sur le marché de l’immobilier, le droit immobilier, le droit de l’urbanisme, la fiscalité, la technique, etc. Il n’y a que les marchands de biens expérimentés et formés qui savent rassembler toutes ces connaissances. 90 % des investisseurs du dimanche craindront d’aller sur ces opérations.

Je vous invite donc à vous former et à vous doter de toutes ces connaissances pour surclasser la concurrence et maximiser vos chances de vous positionner sur des opérations rentables. Apprenez comment monter et réaliser des opérations complexes !

Deuxième conseil : allez sur des opérations de plus en plus chères

Si vous cherchez des opérations aux alentours de 200 000 ou 300 000 euros, 95 % de la population française pourra se positionner.

L’idée est d’aller sur des opérations plus chères. Vous serez toujours face à de la concurrence mais, dans ce cas, il s’agira de vrais professionnels qui feront les mêmes calculs que vous. Vous aurez donc les mêmes chiffres et la concurrence ne se fera plus sur le prix. Vous éliminez donc déjà beaucoup de personnes.

En effet, peut-être que vous n’avez pas ou peu de capital. Et c’est normal. Tout marchand de biens qui débute passe par là. Pour autant, ceux qui suivent mes formations le savent : c’est faisable de passer de 0 à 200 000 euros de capital assez rapidement grâce à l’effet de levier. Ceci vous permettant ainsi de vous positionner sur des plus grosses opérations dans la foulée. Capitalisez au maximum durant les premières années de votre activité, mettez la fiscalité de votre côté et ça paiera.

Troisième conseil : trouvez des biens hors marché

Qu’est-ce que cela signifie ?

 Si vous concentrez vos recherches de biens immobiliers sur des sites grand public tels que Seloger ou Leboncoin, vous serez face à tous les touristes de l’immobilier. Souvent, quand on arrive sur une de ces annonces, il est déjà trop tard, tout le monde est passé par là et a parasité les bonnes affaires.

Il ne reste que les miettes…

Une bonne méthode est alors d’aller chercher les bonnes affaires avant qu’elles n’apparaissent sur ces sites grand public !

Pour ce faire, activez votre réseau et recherchez des biens abandonnés.

Développer son réseau ne consiste pas justement à participer à des cocktails ainsi qu’à des soirées. Développer son réseau c’est avant tout en parler à tout le monde ! Parlez de votre activité d’achat/revente à tous les gens que vous connaissez : votre famille, vos amis, vos collègues de travail, etc. Tout le monde connaît quelqu’un qui connaît une personne qui met un bien immobilier potentiellement intéressant à vendre. C’est obligatoire. Mais, pour ce faire, parlez sans arrêt de votre activité à votre entourage.

Concernant les biens abandonnés, ça se repère. Ils sont généralement les meilleures affaires qu’on peut trouver. Les stratégies efficaces pour les trouver sont des stratégies spécifiques que j’explique dans mes formations.

En conclusion, il existe un grand nombre de moyens permettant de surclasser la concurrence et de se positionner sur le marché malgré le grand nombre de personnes recherchant des biens immobiliers aujourd’hui.

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